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Par jordisan le 8 Juin 2015 à 13:59
J'ai retrouvé cette photo sur mon album.
Les retrouvailles 63 ans après la photo publiée des anciens footballeurs Fédaliens.
Après quelques secondes d'hésitations, ils se sont enlacés et pleurés comme des enfants.
Rien que de l'écrire j'en ai les larmes aux yeux de me souvenir de ce moment. Ça c'est passé sur le parking du Lazaret à Sète en 2005. La photo n'est pas terrible, mais assez claire pour les reconnaître
Georges
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Par pierrot33 le 7 Juin 2015 à 21:38
Au Stade Philip à Casablanca le 9 Février 1947
Après le match des COUPE d’AFRIQUE DU NORD.
FS 1 - RED STAR D’ALGER 0
But de Léonard SOLER d’un SCUD des 40 mètres.
Antoine BARON (entraineur)) Maurice RASTOLL. Bouchaïb OMARY. (Ould IZZA) ?
Jean VEGAS. ? . Léonard SOLER; LA coupe de cheveux de Marcel ALONZO. Paul VIGILIA
FATMI dit SARDINE qui a été un bon goal de FEDALA SPORTS et ?
CARLOS - RODRIGUEZ Joaquin - Raphael SOLER - Jean ALBARAN - CARDINI -? -
Antoine SOLER - ? -
Avec la complicité de Claude PISANI
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Par pierrot33 le 2 Juin 2015 à 19:02
Retour sur «Mannesmann»…
Reinhard et Max Mannesmann
Une grande marque de fabrique allemande, qui brilla sur le Maroc d’avant le Protectorat franco-espagnol, est de retour dans l’ancienne Fédala (1).
«MANNESMANN» : le nom s’étale en caractères d'imprimerie sur des panneaux publicitaires posés depuis peu dans les avenues de Mohammédia et nous ramènent plus d’un siècle en arrière lorsque les ambitions marocaines de l’empereur d’Allemagne concurrençaient fortement celles de la République française. C’est vrai que depuis la nomination au Maroc du général Lyautey, en 1912, comme résident général de France près Sa Majesté chérifienne, alors le sultan Moulay-Hafid, le mot «Mannesmann» avait vite disparu de Fédala et du reste de la Chérifie, tout en se maintenant, il est vrai, sous la forme populaire, simplifiée, quand on l’écrivait en arabe ou en français, dans le terme «MANESMAN». Il y eut donc la «plage Manesman», et «l’îlot Manesman» pas très loin de la corniche et du port. Les pubs de 2015 ont remis en selle la version longue et compliquée de ce patronyme allemand, celui d’une lignée industrielle aussi fameuse alors que celle des Krupp.
Les panneaux de ce printemps ne nous annoncent pas une ressurection au Maroc, un retour de la firme géante germanique mais une opération immobilière sur la portion du littoral océanique ayant appartenu il y a plus de 100 ans, aux maîtres de l’acier rhénan. Soutenu par la Banque BNP-Paribas, l’Atelier d’architectes Mohamed Lamnaouar va «restructurer» les installations actuelles, surtout des pavillons de plages légers et lancer un «lotissement pieds dans l’eau», comme la côte entre Casablanca et Rabat en compte déjà plusieurs dizaines – hélas ! la plupart du temps sans laisser quelques petits morceaux de maquis ou de forêts pour les promeneurs, les lapins et les tortues terrestres … L’autre plaie de ces résidences balnéaires, ce sont les dépôts «sauvages» de gravats et autres déchets que certains entrepreneurs se font un devoir, si possible la nuit, d’aller déposer sur le terrain du concurrent … Du côté des plages Dahomey ou David, vers Bouznika, les dernières pinèdes, les derniers troupeaux de bovins ou ovins doivent s’accommoder maintenant des débris de matériaux de construction déversés en énormes tas au bord des pistes ou au beau milieu des paturages …Les frères Mannesmann, jadis, avaient hérité en Allemagne d’une fortune bâtie d’abord dans la fabrication des couteaux et qui prit un essor gigantesque vers 1885. Les six frères allemand propriétaires de ce patrimoine économique profitèrent de l’accord euro-chérifien d’Algéciras, en 1906, en Espagne, pour proposer leurs services au sultan Abdelaziz puis à son frère et successeur Abdelhafid. Ces ambitions industrielles notamment minières, s’accompagnèrent d’un véritable coup de foudre collectif pour les beautés naturelles du Maroc, particulièrement en cette Chaouïa côtière ou intérieure, alors peu peuplée et donc souvent en friche. Les six frères obtinrent du Makhzen à Fédala et alentour, huit concessions agricoles totalisant, dit-on, 50 000 hectares dont une partie fut aussitôt défrichée de ses doums, en association avec des paysans du cru.
Reinhard Mannesmann, l’aîné, vint avec sa jeune épouse Ruthilde pour un long, très long voyage de noces, ambulant, au Maroc, circulant avec une véritable smala de gardes, serviteurs, cavaliers, chevaux, mulets, etc. A ses heures libres, le nouveau marié se livrait à la prospection minière, comptabilisant, assure-t-on, plusieurs centaines de gisements divers. Ses cinq frères plus jeunes visitaient le pays avec l’accord du Palais. Robert devait mourir à Safi tandis qu’Otto, irait rendre l’âme en Libye où, pour se changer les idées, il s’était fait nommer consul un temps par le Kaiser de Berlin. Tous ces voyages, ces projets, ces concessions de la sextuple fratrie volèrent en éclats avec l’arrivée du germophobe Lyautey et surtout la guerre franco-allemande, déclenchée en 1914 et qui allait permettre à Paris de récupérer l’Alsace-Lorraine conquise par l’Empire allemand en 1870. Lyautey fit même fusiller pour «espionnage» un ami des Mannesmann qui avait eu l’imprudence ( et l’impudence ?) de rester dans l’Empire chérifien après l’installation des Français …
Le «Maroc allemand» n’a pas existé mais, outre la fratrie industrielle, de nombreux autres sujets de Kaiser marquèrent alors l’Histoire du Maroc, du journaliste Siegried Genthe au navigateur Leonard Karow, qui commanda le «Turki», bateau du sultan, au frappeur de monnaie Gustave Franck via le lieutenant Walter Rottenburg, bâtisseur à Rabat, au quartier de l’Océan, d’un fortin sultanien, etc. etc. Nous reparlerons peut-être de ces Germains de Chérifie, surtout si des historiens marocains actuels commencent à s’intéresser à cette «période allemande» du Maroc que le retour du nom de MANNESMANN est en train de nous rappeler.
(1) L’origine du toponyme berbère «Fédala» reste obscure et se perd dans la nuit des temps comme «Mogador» ou «Mazagan». Les Européens écrivirent d’abord «Fédhala» puis les Marocains débaptisèrent cette ville en l’honneur de Mohamed V et orthographièrent le nouveau toponyme «Mohamédia» car le monarque de l’époque ne redoublait pas en français le second «m» de son prénom. Avec le roi Mohammed VI qui l’a fait, le nom de la ville s’est du coup orthographié «Mohammedia». Comme le constatait le romancier et grand voyageur Paul Morand, longtemps résident à Tanger, «Chaque époque se reflète dans ses orthographes»…
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Par pierrot33 le 30 Mai 2015 à 12:38
Vous vous souvenaient d'elle ?.
Indice :
Elle tenait une Mercerie Bureau de tabacs en face de "Chez Aillot".
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Par pierrot33 le 30 Mai 2015 à 12:27
Les anciens footballeurs Fédaliens.
de haut en bas de gauche à droite
1° rang : SIMAO, RASTOLL Jean, ALBARAN Jeannot, SANCHEZ François , NAVARRO Jean, VEGAS, Mr LACROIX
2eme rang : CONTE, BELAIDI, CARLOS, SOLER Raphaël, CARDINI, SOLER Antoine, FARNI.
Offert par Simomone.
si toute fois des noms où prénom vous reviennent me contacter.
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Par pierrot33 le 5 Mai 2015 à 23:43
Georges Simoes " le grand JO "
5 Mai 2015le grand Jo
Georges SIMOES commence sa carrière au Maroc, dans son pays d'origine, et il est appelé à diverses reprises en équipe nationale, au sein de laquelle il obtient des résultats honorables, notamment une médaille de bronze aux championnats du monde, en 1973, à Casablanca, donc en quelque sorte à domicile, avec Anzit et Gérard Parizet.
C'est dans les années 75 que Georges SIMOES va s'installer en France, dans la région de Perpignan, où il va souvent jouer, et souvent gagner, avec d'excellents compétiteurs de notre hexagone, et en particulier avec Roger Cargolés et Michel Ville.
Grâce à sa médaille "marocaine", évoquée en introduction, Georges SIMOES est un des rares joueurs, peut-être le seul..., à être monté sur les podiums des championnats du monde sous les couleurs de deux pays différents puisqu'il les retrouvera avec l'équipe de France, notamment en 1991, aux Escaldes, à Andorre, puis en 1993, à Tchang Mai, en Thaïlande, avec Philippe Quintais, et Michel Schatz, plus connu son le nom de "Passo"pour endosser le maillot arc-en-ciel des vainqueurs.
Georges SIMOES, autre particularité de ce champion, possède deux titres de champion du monde mais n'a jamais été pour autant champion de France. En 1990, à Brive, il va malheureusement "rater la dernière marche" en s'inclinant en finale avec Gérard Pariset et José Bauer, et en 1991, avec les mêmes, à Avignon, c'est en demi finale que son parcours va s'arrêter.
Parmi ses résultats notoires on peut citer le "Trophée Canal+", qu'il a remporté plusieurs fois, aux côtés de Philippe Quintais et de "Passo", avec lesquels il constituait à cette époque une des meilleures équipes du circuit.
Rappeler aussi qu'il s'est imposé à Millau, en 1992, de nouveau avec "Passo", et Jo Farré. Toujours avec "Passo", et avec le renfort de Philippe Quintais et de Didier choupay : à Genève, à l'occasion d'un "Bol d'or", un marathon de pétanque auquel il a participé plusieurs fois, Georges SIMOES va contribuer à la réalisation d'une performance de taille en permettant à cette belle équipe de gagner 23 parties de suite.
Particulièrement à l'aise au point sur les terrains difficiles où il faisait souvent la différence, Georges SIMOES, en joueur complet, était également un redoutable tireur, avec un geste remarquable, qui conjuguait l'élégance et l'efficacité.
Son attitude, son comportement sur les jeux, et son état d'esprit ne manquaient pas non plus de forcer le respect. Pour preuve cet extrait d'une interview, recueillie en décembre 2000 par Xavier Thomas pour "La dépêche du midi", au cours de laquelle Georges SIMOES explique pourquoi il a choisi, avec Michel Ville, son vieux complice, d'inviter un jeune joueur, à savoir Alexandre Faurel, à les rejoindre, je cite :
"(... ) Alexandre Faurel, il est au club de Saint-Orens. C'est un futur bon, un futur bombardier! Je l'ai repéré l'an dernier et je lui ai demandé de venir jouer avec moi. J'essaie d'intégrer les jeunes, c'est important. D'ailleurs, nous avons gagné ensemble les Masters de Saint-Orens cette saison (...)
Les former, les conseiller, les faire profiter de mon expérience, c'est quelque chose qui me paraît essentiel. Il faut préparer la relève, sinon, à quoi bon? Il me reste encore quatre ou cinq ans à jouer à haut niveau alors je trouve normal d'essayer de les intégrer et de les mettre dans de grosses parties, au contact d'une adversité relevée (...)
Vous savez, moi j'ai commencé la pétanque à l'âge de 12 ans. J'avais les boules dans le cartable! C'est un sport qui m'a énormément apporté, qui m'a permis de voyager à travers le monde. Je trouve dès lors normal de transmettre l'héritage aux plus jeunes. J'ai d'ailleurs monté une école de pétanque pour eux à Blagnac. Il faut des structures pour les accueillir et leur donner envie de progresser."
Quand la mentalité d'un joueur se révèle ainsi à la hauteur de son talent, alors il entre de plein droit dans la catégories des Vrais Champions, des Grands Champions, des Beaux Champions !
Pétanque Blagnac Ramier 31
une pensée pour notre ami Denis Lonca avec Georges Simoes au montagnard à Luchon
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Par pierrot33 le 17 Avril 2015 à 14:30
Des photos du Maroc d’antan.
Certaines sont authentiques et impressionnantes, d’autres sont un peu bizarres…
Mais elles font toutes échos de l’image du Maroc d’aujourd’hui.L’expression «une image vaut mille mots» a été inventée par l’éditeur de journal américain Arthur Brisbane en 1911. C’est une notion simple qui s’applique à de nombreux aspects de nos vies, mais surtout à la photographie historique.
Parfois, une simple photo peut vous en dire plus sur l’histoire que ne importe quelle histoire vous pourriez lire ou tout document que vous pourriez analyser. Ces photographies tous racontent des histoires sur les Marocains et les villes marocaines d’antan.
Des monuments historiques et des personnes célèbres jusqu’à la routine quotidienne d’autrefois, ces photos dépeignent le passé d’une manière que nous pouvons faire preuve d’empathie afin de le comprendre vraiment.
1- La plage de Tanger
Soit elle valait vraiment le détour soit il trouvait bizarre une femme en maillot sur une plage….
2- Un couple berbère
3- Débarquement franco-espagnol à Casablanca en 1907
4- La danse, sport national des Marocains depuis belle lurette…
5- Une photo royale
Feu Sa Majesté le roi Mohammed V avec ses six enfants :
Feu sa majesté le Roi Hassan II, Lalla Aïcha, Lalla Malika, Moulay Abdellah et Lalla Nezha.
6- De goumiers marocains en 1943
7- Immeuble « Nid d’abeille » à Casablanca en 1952
Plusieurs architectes se sont chargés de l’aménagement de Casablanca.
Georges Candilis et Shadrach Woods Candilis ont mis en œuvre l’immeuble nid d’abeille, un logement destiné aux populations arabes en adéquation avec les mœurs et les traditions arabes où les gens vivent les uns à coté des autres en respectant l’intimité familiale.
L’expérience nid d’abeille de l’équipe Candilis sur cette photo sera la plus célèbre.
Elle servira de modèle à Paris et à Marseille par la suite.8- Des femmes de Tétouan en 1955
9- Jeune mauresque d’Oujda fumant l’Opium
10- Une jeune femme en Haïk
11- Quartier Bousbir à Casablanca (on dit pudiquement le quartier Réservé) était un endroit clos très fréquenté dédié à la prostitution
Durant le protectorat, Casablanca a eu son bordel à ciel ouvert.
Parquées dans cet immense quartier, les prostituées sont soumises à une surveillance draconienne, toujours disponibles pour satisfaire les clients.
Les prostituées de Casablanca sont ainsi parquées dans des maisons bâties en vieille médina.
Les terrains appartiennent à un certain Prosper Ferrieu qui, bien malgré lui, donne son nom au quartier chaud.
Bien trop visible au milieu des grands rêves urbanistiques du maréchal. Bousbir est déplacé loin des regards, à Derb Soltane qui accueille le nouveau quartier réservé.12- L’école coranique en 1940
13- Des femmes marocaines types
14- Oum Kaltoum au Maroc
15- Le stade la Casablancaise en 1960
Le stade et pavillon de l’Éducation physique ex-Parc Lyautey de Casablanca.
Il se situait dans l’actuel parc de la Ligue Arabe sur l’ex-avenue d’Amade au centre ville de Casa,
tout près de l’ancienne place administrative devenue place des Nations Unies avec sa fontaine lumineuse et musicale.16- Des femmes en classe de broderie
17- Une femme sur la bicyclette
18- Olé Casablanca
Les arènes de Casablanca se situaient sur le Boulevard d’Anfa et auraient été construites, au départ, en bois, entre 1910 et 1920.
Elles appartenaient alors à une famille espagnole installée au Maroc depuis le 19e siècle.
Les arènes ont été détruites au début des années 70 sur l’ordre de Hassan II qui éprouvait du dégoût pour cette discipline qu’il qualifiait de boucherie, selon ses proches.
Aujourd’hui, seul reste un terrain vague laissé à l’abandon.19- Le retour des troupes
Après d’âpres combats, on s’en retourne couvert de gloire, et en général tout à fait désargenté !
Ce n’est pas beau, la guerre ? Surtout quand on ne sait pas pourquoi on la fait…20- Les émeutes urbaines de 1965 à Casablanca
Tout d’abord, il faut bien souligner que ce sont des grèves scolaires et non ouvrières et paysannes qui sont à l’origine des émeutes urbaines de 1965.
En effet, la cause immédiate qui a fait déborder le vase en provoquant le déclenchement des événements était une circulaire du ministère de l’enseignement qui réduisit l’âge limite pour être admis dans le second cycle de l’enseignement secondaire.
Dans une forte proportion, les élèves se voyaient interdire en cours d’année l’accès au second cycle et ne pouvaient plus poursuivre leurs études que dans l’enseignement technique et professionnel.21- La voiture de la sûreté nationale
22- La première course automobile
En 1952 la première course automobile eu lieu sur le circuit d’Aïn-Diab.
Elle avait pour nom les “12 heures de Casablanca”.
De grands pilotes avaient tout de même fait spécialement le déplacement, Maurice Trintignant, Jean-Louis Rosier - fils de Louis Rosier - et Charles Pozzi étaient du groupe.23- L’attentat de 1953
Le marché central de Casablanca devient célèbre, lorsque le résistant Mohamed Zerktouni commet un attentat contre les colons français le 24 décembre 1953.
Une bombe a explosé à 11h30 au moment où beaucoup se préparaient aux fêtes de fin d’année.
Cachée dans un cabas et déposée près d’une boucherie chevaline de l’allée principale, la bombe avait fait 18 morts et 40 blessés d’après les rapports.
Le propriétaire de la boucherie ainsi que son fils ont été protégés par le comptoir de la boutique, mais beaucoup ont perdu un membre de leur famille, marocain ou européen.24- Les Noualas de Casablanca
Vers la fin des années 40, la ville de Casablanca doit faire face à une importante crise du logement.
Les populations s’entassent dans des bidonvilles alors que les villas et immeubles font rêver.
En effet, ils regroupaient un peu plus de 50% des habitants du Maroc.25- L’élégance n’a pas d’âge !
Allez tant qu’on y est… Nostalgie oblige…l’élégance n’a pas d’âge…admirez la démarche des deux dames et leur grâce…
C’est la rue qui va du Bd Mohamed V à la rue Allal benabdellah à côté de Studio Maradji.26- L’arroseur public
Selon un internaute, il servait à laver les poussières et rafraîchir la rue par canicule. Certainement avant le passage des personnes importantes.
27- Des ouvriers à Casablanca
Les jeunes d’aujourd’hui doivent connaitre l’histoire de leurs aïeux qui ont fait de Casablanca qui n’était qu’un petit port et ce sont ces mêmes personnes misérables et pieds nus et tous ceux qui sont venus après qui l’ont bâtie… chapeau
28- Femmes de la résistance en réunion à Rabat dans les années 50.
29- Rabat : Manège pour enfants devant la Kasbah des Oudayas
30- Entrée de la mine des phosphates à khouribga
31- Années 60....jeunes gens de l’agdal
32- Les rollings stones 60’s au Maroc
33- Un défilé à Rabat en 1961
34- Des joueuses de Basketball à Casablanca en 1960
35- Une mariée d’antan
36- Casa Port en 1963.
37- Invitation au Voyage de Royal Air Maroc en 1967
38- La piscine municipale de Casablanca 60-70
39- Célébration du nouvel an en 1977
40- Miss Tahiti 1982 à Casablanca
Photo bonus
Une petite devinette, à votre avis, c’était où?
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Par pierrot33 le 8 Février 2015 à 01:16
L'époque du twist
que de vieux souvenirs ............
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Par pierrot33 le 16 Janvier 2015 à 11:03
Bonjour,
J’ai habité à Fédala de 1949 à 1952.
Mon père avait été envoyé de Strasbourg à Fédala pour les débuts de Strafor.
Je recherche le nom actuel de l’ancienne rue de Picardie afin de retrouver notre maison sur Google.
J’ai retrouvé plusieurs amis de l’époque sur le site « une vie à Fédala ».
Merci d’avance pour votre aide.Bien cordialement, Xavier PONSOT.
Mise en ligne suite à message sur « Contact »
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Par pierrot33 le 2 Août 2013 à 14:21
Souvenir de Robert jean Westrelin
Témoignages-photos de Casablanca et du Maroc,d'un des marins du dragueur de mines "Marie-Mad", acteurs de cette période de guerre.
Mon père, Robert Jean Westrelin .
Comme beaucoup, nous sommes passés par Casablanca et bien connu le port
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